Cet essai veut alimenter le débat relatif à l'effritement du consensus concernant la responsabilité humaine dans le changement climatique. Le mathématicien argumente son scepticisme en analysant la fragilité des données scientifiques disponibles. Il analyse également l'aspect épistémologique des problématiques liées au réchauffement et avance l'hypothèse d'une science pathologique.